Par Lambert Clet.
Le dispositif est inébranlable. En haut de la planche format A3, l'inscription « Autofictions », une date. Un peu plus bas, un titre, suivi d'une recherche plastique : parfois, de simples esquisses, souvent, des assemblages complexes de matériaux, de pratiques. En pied de page, deux notations. Par exemple celles-ci : 1) C'est où et quand et pourquoi commencer ? / 2) La planche est le lieu de tous les tâtonnements, de toutes les approximations et de tous les errements, et non la recherche d'une forme de régularité ou de récurrence.
La planche comme poème. À propos de Déséblouir de Jean-Pierre Marquet.
Par Lambert Clet.
Le dispositif est inébranlable. En haut de la planche format A3, l'inscription « Autofictions », une date. Un peu plus bas, un titre, suivi d'une recherche plastique : parfois, de simples esquisses, souvent, des assemblages complexes de matériaux, de pratiques. En pied de page, deux notations. Par exemple celles-ci : 1) C'est où et quand et pourquoi commencer ? / 2) La planche est le lieu de tous les tâtonnements, de toutes les approximations et de tous les errements, et non la recherche d'une forme de régularité ou de récurrence.